mardi 7 juin 2011

C'est en se perdant que l'on se trouve !

Triste réalité que de ne plus vouloir s'adresser la parole. Je sens plus que jamais que l'on est indifférent à mon égard. Est-ce en récompense à ce dont j'ai longtemps cru, et finalement la patience des années ne m'aura pas épargné la douleur d'aujourd'hui. Cessez d'être indifférents à mon encontre... Je suis ce que beaucoup aimerait voir, sauf mes graisses qui n'envient personne... Triste moi ! dont le sort est au gré des indifférences, qui me tuent, mais, rien de mal, puisque le plus mal, c'est qu'elles emportent avec elles tout espoir contenu dans toute idée petite qu'elle soit, grandement noble… Elle l'est !, car, porteuse de lumière, bien plus lumineuse que n'importe quelle source de lumière, lumière qui porte en elle la dignité de l'homme que je suis, lumière que j'ai daigné en faire offrande à l'âme que j'ai portée en moi, en mon coeur, que j'ai chéris, et que je ne peux aimer que si noblement, c'est l'objet même de ma noblesse, de ma dignité. Oh lumière ! parle-moi, ne me laisse pas sombrer dans l'obscurité … Lumière ! vous me faites damner, ayez pitié de moi, Dieu aura pitié de vous, épargnez à cette âme tant de supplices, et vouez la vôtre à la mienne, vous connaîtrez meilleur sort que je ne puisse réserver à la mienne ; vous êtes ce que je rêve chèrement d’avoir, vous êtes ce que je crois fermement devoir avoir…